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  • J'ai 19 ans, je suis à Challes-les-Eaux. Mais qu'est-ce que je fout ici? Nous avions finit par retourner vivre à Paris avec mes parents, et pendant les vacances je suis venu m'aérer en Savoie... Quelle drôle d'idée! Mais qu'est-ce que je fout ici? Je suis venu voir un ami en fait, Hervé, qui vit pas loin de Chambery. Sauf que cet ami là, je crois qu'il aimerait bien me mettre une cartouche... Il a plein de problemes ce garçon. Il en à trop, j'peux rien faire pour lui. On passe quelques jours sympas, il me fait visiter la Region, c'est beau mais je m'emmerde. Et puis il a vraiment trop de problemes, il est vraiment pas bien dans sa peau et ça me fout le cafard... Le 5em jour, il me fait sa déclaration... Manquait plus que ça! Il est amoureux de moi. J'essaye de lui faire comprendre gentillement que ça n'est pas, mais alors pas du tout réciproque. J'y peux rien, je vais pas me forcer?! Un soir, il me dit qu'il doit rendre visite à sa mère qui est très malade, elle habite à 200Km. Il me laisse seul chez lui. Et là, Tout seul dans un Bled pareil, sans ami et sans rien à foutre, croyez moi, ça donne des idées noires! Alors pour pas sombrer j'appelle un numero de Réseau de rencontres Gays. Je tombe sur une voix, plutôt envoûtante et le feeling passe bien, mais le gars est à 100Km, il habite à Grenoble! C'est bien ma veine! Je lui dis que je m'appelle Etienne et que mon chien s'appelle Daho! ça le fait rire, pourtant c'est con. Mais ça le fait rire, alors il décide de venir, il est 23H..! Il arrive, on s'est donné rendez vous sur la petite place pourrit de Challes les eaux (Tu parles d'un lieu de rencontres) C'est le désert! Pas un bruit, pas un chat noir qui traverse la route! Pas une ombre dans les rues! Je suis seul, et je me gêle le cul..! Et puis au loin des phares de voitures qui descendent la Nationale... A part lui, je vois pas qui peut passer par là à cette heure ci..! Il se gare, il s'approche de moi. Il me serre la main (ça c'est toujours annonciateur d'un excellent plan cul..!) Bref, salut, je m'appelle Etienne! (Je sais pas ce qui m'a prit de dire que je m'appellais Etienne, c'est super moche en Plus Etienne!) Il est grand, brun, il a des yeux bleus magnifiques et il a l'air vraiment très bien foutu. On monte chez moi, enfin chez l'autre. Dans l'ascensseur je deccroche pas un mot et lui il est mort de rire. Je tourne timidement les yeux vers lui (Les lumières de l'ascensseur m'éblouissent la gueule) Mais qu'est-ce qu'il est beau! Au menu: Pizzas! Parce que à cette époque je savais pas trop comment ça marchait les plans cul, j'en avais jamais fait. Moi je pensais qu'on allait devoir flirter 3 semaines avant de s'embrasser! Les pizzas finalement personne les a manger, parce que, perso, j'avais l'estomac Noué tellement je le trouvais beau. Alors on a bu un peu. On a regardé un truc pourrit à la télé, l'horloge s'affolait. Moi je paniquais. On a discuté beaucoup et puis, il s'est fait tard alors... Je lui ai proposé de ... Dormir là! Je ne savais pas que cette rencontre là, allait marquer ma vie à jamais, et que je m'apprêtais à vivre ma plus grande et ma plus Belle Histoire d'amour. Nous avons finalement passé tout le week end ensemble. Je ne voulais plus qu'il s'en aille. J'étais Amoureux! Ce fût un véritable coup de foudre. Mais "l'autre" allait bientôt rentrer et il valait mieux éviter qu'il nous trouve ensemble chez Lui..! Pascal est rentré chez lui à Grenoble. Et moi j'ai annoncé la nouvelle à Hervé. Il s'est enfermé dans la salle de bains. Il pleurait, il criait. C'était terrible à voir. Il avait l'air de m'aimer vraiment. Et puis je n'ai plus rien entendu. Il ne répondait plus à travers la porte. Quand j'ai ouvert, j'ai trouvé son corps dans une baignoire remplie de sang. J'aurai dû rentrer à Paris à ce moment là, mais j'ai pris la direction de Grenoble. J'ai appellé Pascal pour lui expliquer ce qui c'était passé. Pascal vivait chez ses parents dans le centre de Grenoble, il avait pourtant l'age de vivre seul chez lui, comme un grand garçon qu'il était. Mais non, il était bien chez ses parents! Il était Jeune diplômé Architecte et tout allait bien pour lui. J'avais vraiment pas envie de laisser passer ma chance, et si j'étais rentré à Paris, j'aurai pris le risque de ne jamais le revoir. Je pouvais pas faire ça. J'ai donc inventé une Histoire, comme je sais si bien le faire. Je lui ai dis que j'étais hébergé par un ami sur Grenoble et que j'allais sans doute rester dans le coin parce que j'avais trouvé un centre equestre où je pourrai poursuivre mon monitorat d'equitation! Il faut savoir qu'en réalité bien sur je ne connaissais personne à Grenoble et que je n'avais ni Taff, ni argent! J'avais juste ma vieille R5 pourrit qui roulait encore mais seulement par la volonté du saint ésprit, et un chequier bientôt vide... Je ne voulais pas lui dire la vérité, on se connaissait à peine et ça l'aurait fait fuir un mec comme moi qui débarque avec ses ambrouilles. Alors on se voyait le soir, quand il rentrait de son travail, on mangeait ensemble et puis il me déposait chez mon "ami invisible" et il rentrait chez ses parents. Moi je couchais dans ma voiture avec mon chien qui s'appellait toujours Daho! Un vrai clodo quoi..! Mais un clodo de luxe! avec un joli pavillon R5 sur roulettes! ça à duré comme ça des semaines et des mois... Malgré tout ça, ça marchait très bien entre nous, on s'aimait, je crois qu'il me trouvait courageux, alors qu'il ne connaissait pas le quart de la vérité! C'est vrai que j'étais courageux, car quand mon père me téléphonait pour prendre des nouvelles je disais toujours: "TOUT VA BIEN - J'AI BESOIN DE RIEN"! En fait Non, a part l'amour, tout allait mal, et tout allait de plus en plus mal, parce que le chequier était vide. J'ai donc essayé de tendre la main dans la rue... Mais j'ai vite arrêté je n'en étais pas capable. Alors j'ai pensé à un autre moyen de gagner de l'argent très vite. Je savais que dans un certain quartier, il y avait des garçons qui vendaient leurs "services"... Alors un soir, je me suis collé sur le trottoir et j'ai attendu. Il fallait bien que je mange! Et si Pascal s'apercevait que je n'avais plus d'argent alors mon Histoire de Taff et de Monitorat ne tenait plus debout. je devais avoir l'air d'avoir une vie normale pour ne pas le faire fuir. J'ai attendu 15 minutes avant que la première voiture s'arrête. La vitre s'est baissée, et un homme a penché la tête vers moi, il devait avoir 50 ans, il était bedonnant et il portait des lunettes. Il m'a dit ce que je redoutais le plus: "C'est combien?" Et là, malgré la peur, je me suis pas démonté, j'ai répondu: "ça dépend" // Mais il a vite compris que c'était la première fois pour moi. Parce qu'un garçon qui tapine ne dit jamais à son client: "ça dépend". Il annonce clairement et distinctement ses tarifs. Je n'avais aucune idée de la somme que je pouvais demander pour faire ça, et puis d'abord pour faire quoi? Et où? Et combien de temps? Il a remonté la vitre et il est parti. J'étais tellement soulagé. J'avais envie d'arrêter tout de suite. J'étais pas capable de faire ça, j'ai repris le chemin de la rue où j'avais garé ma voiture et puis... Merde! J'AI BESOIN D'ARGENT!

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  • ...Sous l'insistence de mon Oncle, mes parents avaient fini par céder. On achète une Caravane à dit mon père! A cette époque là, j'aimais le camping(!) Et je me réjouissais de pouvoir me tirer chaque vendredi soir retrouver mes potes de camping, qui avaient visiblement tous le même enthousiasme! Au moins là, on pouvait traîner tard la Nuit sans avoir trop les parents sur le dos... Chacun vivait sa vie. Je traînais encore et toujours avec des filles, j'avais quelques copains, mais curieusement nos goûts en matière de Sport étaient relativement opposés; quand je m'éternisais sur le toboggan de la piscine ils se pêtaient les genoux sur le terrain de foot..! C'était cool. Mon Oncle possédait une caravane lui aussi dans ce camping, alors on se retrouvait en famille, avec les cousins et les cousines. Je passais beaucoup de temps avec ma cousine Céline, nous étions très proches. Elle avait eu un accident très grave quelques mois auparavant, et elle avait encore beaucoup de mal à marcher. Un jour en descendant du Car scolaire qui la déposait devant chez elle, en Traversant, elle s'est faite renversée et projetée à 12 mètres sur le bord du trottoir par un 38Tonnes qui roulait bien au dessus de la vitesse autorisée. Elle était condamnée par les medecins. Poumons perforés, remplis de sang, multiples fractures du crâne, De l'eau dans le cerveau, Membres cassés... Elle devait mourir... Et puis elle a finit par sortir de son coma... Je crois bien que c'est ça un Miracle, quand on attends plus Rien et qu'il se passe malgré tout quelque chose. J'essayais de prendre soin d'elle comme je pouvais. Je traînais tard le soir dans le camping, et j'étais toujours le dernier à rentrer chez moi... Ce soir là, ma soeur et mon beau frère nous rendaient visite au camping. Tout le monde dormait car le lendemain matin nous devions nous lever tôt pour visiter Grenoble. Tous mes amis étaient couchés... Un silence parfait dans l'obscurité, à quelques croassements près... Je me dirigeais vers notre caravane qui se trouvait sur les hauteurs du camping. Et au détour d'une allée, il était là assis dans sa chaise longue en train de fumer... Tous les enfants et les adolescents le connaissaient, il était sympa avec nous. Il nous faisait rire. Curieusement je ne me souviens plus de son prénom. Appellons le Omar, ça lui va bien Omar, je ne sais pas si ça sonne Turc mais ça lui va bien! Il m'a proposé de boire un verre avec lui... J'ai dis Oui, j'étais pas fatigué. On est entrés dans sa caravane, parce que dehors il faisait un peu froid. Il a fermé la porte. Il a mis de la musique. Et il m'a servi un verre de coca... On a rigolé un peu, mais j'étais mal à l'aise, comme si je sentais que quelque chose allait se passer. Alors pour me mettre à l'aise il a sorti des magazines. Des bouquins sur les voitures! Je m'en foutais moi des voitures mais il le savait pas! il pensait bien faire! Finalement, ça ne m'a pas détendu du tout, au contraire. Encore moins, quand j'ai découvert au milieu de la pile de magazines automobiles, une Blonde silliconée, les cuisses écartées, un doigt dans la chatte! Un magazine Porno! J'en avais jamais vu! J'avais quand même 15ans! Il a rigolé de me voir mal à l'aise, j'ai dis que je voulais rentrer. Mais il m'a resservi un coca et il m'a dit attends, je vais te montrer des choses! Il était au dessus de moi penché sur le magazine et le feuilletait pour que je vois les photos. Je regardais pas, j'avais Honte, je savais que quelque chose allait se passer. Je voulais partir, pourquoi je ne suis pas parti? Je voulais lui dire: "Ecoute mon con, j'ai très bien compris où tu voulais en venir, et tu peux te gratter, tu me toucheras pas éspece de sale PD!" Mais RIEN. Et là, la cerise sur le gateau, il me sort une nouvelle pile de magazines: Des revues Porno Avec des garçons qui font du sexe. Je suis écoeuré. Je ne peux plus bouger, je tremble. Je ne peux plus parler. Il peut faire de moi ce qu'il veut. Je ne peux plus réagir, je suis paralysé. Il a dû le sentir. Il m'allonge sur son lit. De toute façon comment résister? Il mesure au moins 1,90 et pèse sans doute autour des 85Kg, il a des bras qui font 2 fois mon corps tout entier! Il est tout en Muscles et il pourrait m'écraser s'il le voulait, juste en me serrant la main. Je comprends maintenant l'expression "Fort comme un Turc". Il s'allonge sur moi. Il pû le fauve. Il me degoûte, je tourne la tête pour pas qu'il m'embrasse, il force, il rentre sa langue. Il me touche partout, il me carresse, j'étouffe. Je n'ose même pas réspirer. Il retire mon T-shirt et mon short. il carresse mon sexe a travers mon maillot de bain. Je ne bande pas. ça l'ennerve visiblement. Alors il se relève, je crois qu'il va me laisser tranquille, vexé de ne pas m'avoir excité. Mais non. Il se deshabille. Il enlève son T-shirt et deboutonne son jean, qu'il baisse a mi cuisse avant de s'approcher de mon visage et de me sortir son sexe énorme devant la bouche. Il faut que je crie. Il faut que j'appelle quelqu'un. Pourquoi je n'appelle personne? Ce sera difficile mais après je serai tranquille. Pourquoi je ne fais rien? Et pourquoi j'ouvre la bouche? Est-ce parce qu'il m'a fait mal en appuyant sur ma tête? C'est étrange de faire ça, comment les adultes peuvent aimer faire ça? Je crois que je n'ai pas le choix alors j'obéis. Et je ne dois pas faire ça bien, parce qu'il sort de ma bouche et me retourne sur le lit, il m'écarte les cuisses, je résiste comme je peux, mais il est tellement fort, il me fait mal. il me met un doigt dans le cul très fort, et j'ai envie d'hurler de douleur, je commence à pleurer. je sens que mon corps ne réponds plus. il s'allonge sur moi et me pénetre avec une violence que je ne saurai pas vous décrire. J'ai mal, J'AI VRAIMENT TRES MAL. Il donne des coups de reins de plus en plus fort, et il semble que je m'habitue doucement à la douleur. Pourvu qu'il ne tarde pas a finir ce qu'il a commencé... Mon souhait est exhaucé, il ne lui faudra pas longtemps pour jouir en moi dans un râle de lion en rûte. Je n'ose plus bouger, pourtant, c'est fini. Je peux partir maintenant. Pourquoi je ne pars pas? Il pourrait croire que j'en veux encore. Il faut que je parte... Lève toi et barre toi..! Il me carresse le dos... il me dit que "c'était bien", qu'il doit dormir car demain il se lève tôt, et que je dois partir...

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